Thứ Sáu, 30 tháng 9, 2011

THIEN DAO THANH KINH-PAGE 10

L’être humain a une âme et un corps ; l’âme, bien qu’invisible, et pourtant existe, quant au corps de chair, bien qu’il existe, et pourtant pas : la vérité est celle-ci : il faut respecter à la fois et l’âme et le corps, c‘est ce qu’il faut. Le livre saint de la religion du Ciel est le livre du Nouveau Testament, le livre des Lettrés donc, tout relève également de la religion du Ciel ; quant à dire pourquoi la religion des Lettrés n’agit pas selon les livres des Lettrés, les livres des Lettrés disent de rende un culte au  Ciel, et, dans ces conditions, comment peut-on l’appeler religion des Lettrés ? Or les religions sans livre saint sont des religions imitées, c’est pourquoi elles  s’appellent religions des Lettrés. La culture du classicisme est une science, les caractères des Lettrés, les livres des Lettrés ; il n’a jamais existé une religion des Lettrés.

Ma religion du Ciel parlant du sacrement du Baptême d’une façon quelque peu trop sommaire, mais en y réfléchissant de plus près, il existe des mythes et proverbes d’autrefois disant souvent có tội lội dưới sông,ngưởn mông hết tội, ce qui signifie : celui qui a péché traverse le fleuve  à la nage en soulevant son derrière n’a plus de péché., attention, voilà le mythe. Quant à la confession de ma religion du Ciel , c’est la confession mutuelle ; lorsqu’on commet un péché ou une offense contre une personne,  alors on va vers cette personne, on s‘agenouille devant elle ; et on confesse les péchés que l’on a commis, ou bien on lui rend les biens et les objets à cette même personne en lui demandant de remettre les péchés, en prenant l’engagement de ne plus oser recommencer; lorsque l’on a porté atteinte à la bonne renommée des grands parents et parents de cette personne, on va aussi s’agenouiller devant eux pour reconnaître ses torts. Quelle que soit la manière dont la personne juge nos péchés, nous devons l’accepter. C’est ensuite que nous lui demandons de remettre nos péchés. Si cette personne consent à nous pardonner, nous sommes immédiatement guéris, lavés de tous les péchés

La religion que nous pratiquons en l’occurrence est la religion du Ciel. Si quelqu’un pouvait l’entendre du matin jusqu’au soir, et qu’il lui advienne de mourir le soir, ce ne sera pas si mal car dans les livres, on relève la sentence suivante : triệu van đạo,tích tu khả hỷ, dont le sens a été expliqué ci-dessus, Jésus dit : je suis la voie, je suis la vie, celui qui ne suit pas ma voie ne trouvera pas la vie ; je suis la lumière, celui qui ne me suivra pas ne peut pas avoir la lumière ; je suis la justice, celui qui ne me suivra pas ne connaîtra pas la justice ; je suis la vérité, celui qui ne me suivra pas, n’aura point la vérité ;  je suis la porte, celui qui ne passera pas par cette porte n‘entrera pas dans le royaume du Paradis ; je suis la vigne ,les sarments qui ne sont pas rattachés à la racine  seront desséchés à coup sûr. Les paroles que Dieu a prononcées, quiconque a des oreilles pour les écouter, qu’il écoute et en tire les conséquences pour lui-même
J’ai fondé Le livre saint de la religion du Ciel pour la pratiquer et le transmettre à mes enfants et petits-enfants pour qu’ils la pratiquent à leur tour, car, j’ai remarqué parmi les gens que tout le monde était piégé dans le cercle de l’esclavage, et doit s’acquitter  de la dette d’une existence antérieure (karma). J’ai fondé la religion du Ciel avec l’idée de m’appuyer sur la puissance mystérieuse de Dieu pour effacer la dette du karma et sortir du cercle de l’esclavage
La première chose est de faire savoir aux enfants et petits-enfants l’ancêtre fondateur pour lui rendre un cule et que Dieu nous a crées pour croire en lui.
La deuxième chose est de savoir que nous commettons des péchés et nous en repentir afin de ne pas recommencer, plus tard, à l’heure de notre mort, notre âme pourra parvenir au royaume du Paradis qui sera un lieu de joie
La troisième chose, les enfants et petits-enfants échappent au cercle de l’esclavage et, par surcroît, ne doivent plus la dette du karma c’est vraiment la vie révée sur cette terre des vivants ; les choses dont je me suis entretenu plus haut, je les ai exposées clairement : le Bouddhisme et la doctrine de LaoZi ont pour devise xả thân,nhi cầu đạo, c'est-à-dire ne pas respecter le corps mais honorer juste l’âme, c’est pourquoi ils entassent les grains pour une période de disette  et font beaucoup de choses pour violenter le corps, parlent de choses mystérieuses et lointaines.
Quant à la religion des Lettrés, on ne connaît pas l’âme ; honorez plutôt le corps(de chair) ;il vaut parler de choses ordinaires, point n’est besoin aucunement de parler de  choses complexes
Quant à la religion du Ciel, qui est la religion de Jésus, celui- ci dit que l’âme le corps sont les dons que Dieu nous attribuent ; il faut donc que nous apprécions, honorons l’un et l’autre. Il faut garder le corps dans toute sa beauté ; il faut garder pure son âme. Il enseigne le milieu. Vraiment sa religion est très compatible avec nos livres de Lettrés

.Thiên dao thanh Kinh, denière page intégralement traduite en français en petits passages
Saint-Malo, 29 septembre 2011

THIEN DAO THANH KINH-PAGE 9

 Pour sa part, en pratiquant la religion du Ciel, tía est loin de la pratiquer comme les personnes susvisées ; d’abord, piété filiale envers les grands parents et parents, ensuite, tía ne perd pas sa part d’âme, enfin, personne ne contraint les enfants à quoi que ce soit, et en même temps ils n’ont pas à être les esclaves
,Hélas, en remplissant le rôle de père, peut-on  être ignare où naïf jusqu’à prendre des enfants et petits enfants et les livrer à ces individus. Quant à soi, en tant que fils, il faut aussi savoir réfléchir : bien que son père vous livre à ces individus et lorsqu’il le fat sans que les notables du village l’aient certifié et attesté, alors on a le droit d’annuler, pourquoi ne pas annuler donc, pourquoi s’abaisser à être l’esclave des autres ? Vraiment en évoquant tout cela, cela fend le cœur à chaque épisode
 Il y a une sentence de Confucius qui est très claire : sanh hô mim chi thê nhi phan co chi dao,tac tai dai ky than ,ce qui signifie :nous sommes nés dans les temps présents, et si nous tournons vers le passé: pour pratiquer les religions d’autrefois, alors le malheur nous menace ;il dit : nhơn tâm duy nguy,đạo tâm duy vi, c'est-à-dire : le cœur de l’home est en danger, le cœur de la religion est mystérieux ; autre sentence : nhược hửu tang hanh ac su hau tu cai hôi cuu cuu tât quach kiêt khanh, ce qui signifie ; une personne fait une mauvaise action, ensuite, elle s’en repent et se met à faire du bien ; au bout d’un certain temps,  la grâce la touchera ; cette sentence veut dire que l’être humain peut transformer ainsi le malheur en bonheur.
Le livre classique dit siêu phàm nhập Thánh, c'est-à-dire : si l’on arrive à dépasser le monde, on atteint la sainteté, le livre canonique Huỳnh Đình dit thê tâm diet nhi dao tâm sanh, c’est à dire : si l’on arrive à éteindre chez nous, ce qui relève du monde, alors l’esprit religieux s’épanouira. .LaoZi dit : lòng ở đâu thì mình ở đó, là où est le cœur, là nous sommes. La chenille qui pratique son ascèse pour devenir papillon, qui le  lui a appris, ou l’y a exercée ? sans doute , Dieu l’a t-il fait pour elle ;  Thái Thượng dit họa phước vô môn dỉ nhơn tự triệu, ce qui signifie : le malheur et le bonheur n’entrent par le fenêtre de quiconque, c’est nous qui les faisons entrer ; la sentence ; thượng bá nhứt tâm hành chánh đạo,tự nhiên thiên địa bất tương khuy , ce qui signifie : veiller toujours à garder un cœur tourné vers la bonne religion, naturellement le Ciel et la Terre ne sont pas fâchés contre nous ; Khổng Minh dit mưu sự tại nhơn thành sự tại thiên , ce qui signifie :l’homme peut tout faire mais la réussite ou l’échec est l’œuvre de Dieu.
Mencius dit : hành hoặc sự chi,chi hoặc vật chi,hành chi phi nhon số mạng gia ,ce qui signifie : la chose que nous entreprenons, sans doute quelqu’un nous incite à le faire ; une chose que nous avons l’intention de faire et que nous ne faisons pas, sans doute que quelqu’un nous empêche et nous  dissuade, mais cette incitation ou cette dissuasion, ce n’est  pas le fait d’un homme ; ne serait-ce pas plutôt celle du Ciel ? cela vient vraiment de Dieu vạn sự bất nhơn kê giao,nhưt sanh dô thi mang an bài, ce qui signifie : il y a des millions de choses qui ne sont pas programmées, calculées par l’homme , toute une vie d’homme, le Ciel a déjà arrangée, agencée. Le livre dit ; đa phúc đa cám,đa tài luỵ thân pourquoi dit-on qu’être riche, c’est être heureux. Le livre dit ; hưu điên khoai hoat lô,thê thuong thieu nhơn hành, c'est-à-dire qu’il y a des routes larges et bien tracées, et que pourtant, dans la vie, peu de gens fréquentent.,c’est aussi l‘expression d’un regret, le livre classique dit bât vi tê huong,nhi dan phuoc,bât nhi thât lê nhi đan hoa,c'est-à-dire que ce n’est pas parce l’on fait des offrandes et des sacrifices à nos morts que c’est considéré que comme bien faire, et ce n’est pas parce que l’on ne fat pas d’offrandes et de sacrifices que  c’est considéré comme avoir tort ; cela ne montre t-il pas que c’est inutile de faire des offrandes et des sacrifices ; il y a aussi cette sentence : kỉnh quỷ thần nhi viễn chi , ce qui signifie : lorsque l’on vénère les démons et les génies, il faut garder ses distances ; or, les gens qui rendent un culte à la maison, c’est pourtant près ; est-ce-là prendre ses distances ?
La religion des Lettrés, tía constate que tout le monde la pratique, depuis trois  générations au maximum ;  comment justifier cela ? Lorsqu’on dit : si l’on n’offre pas d’offrandes et de sacrifices à nos morts, ils ont faim et soif ; or, leur donner à manger deux fois par an, comment peut- on considérer cela comme suffisant pour les rassasier ? Quant à l’affaire de l’enterrement et des obsèques, le livre classique dit qu’il faut s’entraider. C’est pourquoi, apportons de l’argent pour aider les autres, c’est bien, c’est beau, au lieu d’acheter quelque objet que ce soit. Il faut savoir que lorsqu’on achète un objet de 50$00 pour offrir à quelqu’un, le dentinaire ne peut pas l‘utiliser, et pourtant, plus tard, il devra rembourser la somme intégralement ; agir ainsi, c’est rendre un mauvais service à quelqu’un ; c’est loin de l’aider. C’est aider les Tây  et aux Chêt . Agir ainsi, ce n’est pas aimer autrui. Mes enfants, examinez le cas
Quant à l’entraide entre père et fils et frères et sœurs, il faut aider sur le plan alimentaire ; il ne faut pas aider pour ce qui est des jeux d’argent et de hasard et de débauche ; même si l’on voulait aider, ce serai inutile. Il vaut mieux les laisser se fâcher, pour commencer, et par la suite regagner leurs esprits et se repentir. Voilà comment on s’aime vraiment ; quant aux affaires d’amitié, il ne faut pas y croire. La religion du Ciel est vraiment la bonne, mes enfants ; Bonne en ce sens : si nous étions dans la richesse et le luxe, sans doute ne nous en tirons pas un sujet d’orgueil, car nous serions convaincus que cette richesse et ce luxe étaient un don de Dieu, et non pas dues à notre talent et à notre intelligence. C’est pourquoi, nous n’osons pas être orgueilleux. En revanche, si nous nous trouvions dans la pauvreté et l’abjection, nous ne devrions pas nous attrister et nous plaindre. Quelle que soit la situation dans laquelle nous nous trouvons, tuỳ sợ ngộ nhi an, ce qui signifie : le mieux encore, c’est de s’en accommoder et d’y trouver paix et tranquillité.

Fin de la traduction  en français du texte intégral de la page neuf, en  passages courts

Thứ Sáu, 16 tháng 9, 2011

THIEN DAO THANH KINH,PAGE 8

 Celui qui fait la volonté de Dieu, Dieu le laissera y accéder.
Mes enfants, sur le plan charnel,  « tia » est bien votre père, et vous êtes bien ses enfants.
Mais, dans la religion du Ciel, « tia » et vous ne sommes que de simples coreligionnaires.
Tous, les enfants de Dieu.
Parmi mes enfants, celui ou celle qui ne suit pas la voie de « tia » et ne rend pas un culte à Dieu, il ne rendra sans doute pas un culte à nos vrais ancêtres. Il rendra le culte à un « chà và » ou, peut-être,  à un « chêt ». Réfléchissez un instant, mes enfants : « tia » adore Dieu, « tia » appelle « ông troi » père. N’est-ce pas un vrai titre de gloire ? De toute manière, il ne vous ferait pas honte. Comment est votre conscience, mes enfants, je ne le sais, mais, pour ma part, je n’aurais jamais voulu que vous adoriez un « chà và » mort, ni un « chêt » mort. « Tia » a vraiment honte des Annamites qui adorent un « chà và » mort. Ainsi donc, dans notre pays d’Annam aucun être n’aurait mérité que nous l’adorions, que nous nous prosternions devant  lui ; pour que nous nous croyions obligés de faire venir un « chêt » ou un « chà » pour l’adorer et faire des prosternations devant lui. Quelle honte pour notre pays, quelle honte pour la race annamite, quelle honte pour notre lignée ! Quiconque a des oreilles, qu’il écoute! Quiconque a une intelligence, qu’il réfléchisse ! Dans la religion du Ciel, fils et filles sont égaux. Les filles peuvent, au même titre que les fils,  rendre un culte à leurs parents et grands-parents. C’est pourquoi chacun des enfants a droit à une part égale de l’héritage lors du partage à la succession Aucune part n’est prélevée au titre du « huong hoa », destiné au culte des ancêtres. Aucune part n’est prélevée non plus au titre du « tiêt tu ». Dans la religion du Ciel, aucun culte n’est prévu c’est pourquoi, la part destinée au « huong hoa » n’a pas de raison d’être.
Je vais maintenant vous raconter, pour vous divertir, les circonstances dans lesquelles j’en suis venu à adhérer à la religion du Ciel. A l’époque où je n’avais encore aucune religion, chaque fois que quelque chose me tracassait, je ne savais vers qui me tourner pour me plaindre ou demander une aide ; d’une part, parce que mon père et ma mère étaient morts l’un et l’autre, et qu’orphelin et seul au monde je ne savais pas sur qui chaque jour il faut m’appuyer ; je me sentais vraiment faible et sans défense ! Aujourd’hui, je pratique la religion du Ciel. Chaque fois que quelque chose me tracasse, je me tourne vers mon père qui est au  Ciel pour lui demander d’avoir pitié de moi et de m’aider. Dieu répond-il alors à mon appel, je ne le sais, mais, de toute manière, pour ma part j’ai le cœur en paix. Désormais, je suis comme un homme  possédant une colonne vertébrale, comme un homme ayant un père, et un père compatissant, qui sait m’aimer et me choyer ; Je ne suis plus du tout orphelin comme avant. Mes enfants, voilà deux ans déjà que je pratique la religion du Ciel. Si je m’étais trouvé ni dans la lumière ni dans l’obscurité, si j’avais connu le malheur et le chagrin, je vous aurais dit que j’avais fait une erreur afin que vous n’adoptiez ma religion. Pour quel motif vous aurais-je trompés  pour vous entraîner dans un lieu obscur ? Moi qui avais accepté de m’agenouiller et de me prosterner pendant des dizaines d’années devant l’autel et sous les brûle-parfums, j’ai honte de moi-même : alors que j’étais une notabilité comment ai-je pu m’abaisser jusqu’à me prosterner devant de si humbles et vulgaires objets ? Si je vous ai envoyés à l’école, c’était pour que vous soyez instruits, pour que vous sachiez réfléchir, que vous sachiez vous réformer, que vous sachiez ce qui est superstition pour y renoncer et que vous sachiez ce qui est bien pour le pratiquer. Jamais je n’ai voulu que vous conserviez ce qui est ancien. Si j’avais voulu que vous suiviez aveuglément la voie de vos grands parents et parents, je n’aurais pas eu besoin de vous donner une instruction, vous forçant à des efforts  inutiles tout en m’entraînant des dépenses. Les enfants d’autres familles qui ne sont pas allés à l’école et n’ont reçu aucune instruction, ils savent pourtant eux-aussi suivre la voie de leurs grands parents et parents. Confucius craignait que les gens ne s’accrochent au passé et ne s’attachent à conserver l’ancien. C’est pourquoi il recommandait explicitement : cau nhut tân, huu nhut tân, nhut tân ;ce qui signifie : il faut faire du neuf, et chaque jour il faut faire encore du neuf. Mes enfants, réfléchissez sur quelques unes de ses sentences : elles sont très claires :thôn tâm tât mui van phap dai minh, ce qui signifie :son cœur, il ne faut pas le laisser dans l’obscurité, et dans une maison éclairée, tout se voit distinctement. En d’autres termes ; jour et nuit, il ne faut pas perdre son temps. A de nombreux endroits, les Livres classiques rappellent qu’il faut adorer une personne, or, personne n’accepte de rendre un culte à Dieu, sans doute parce que les gens n’étudient pas et ne s’en aperçoivent pas Lao Zi qui a fondé la religion du « vô vî »(non agir) pour la pratiquer n’a pas suivi la voie de ses parents. Depuis des milliers d’années personne ne lui a reproché d’avoir fait quelque chose de mal ; par la suite, il a atteint l’illumination et rejoint les immortels.Cakya Mouni a fondé  la religion du bouddhisme pour le vivre. Pendant des années personne n’élevé la voix pour dire qu’il  a fait une erreur. Lui non plus n’a pas suivi la voie de ses ancêtres, et par la suite il est devenu un Bouddha. Maintenant que je fonde la religion du Ciel pour la pratiquer, je ne contrains non plus personne à me suivre ; pourquoi dites-vous que j’ai tort en ne respectant pas les us et coutumes des ancêtres. Mes enfants, ce que je fais maintenant, je ne sais pas pour l’instant ce qu’il en sera demain. Si vous me suivez, c’est bien, sinon tant pis pour vous. Je m’engage fermement à ne pas vous en faire le moindre reproche. Je constate que dans la vie tout le monde dit : j’aime beaucoup ms enfants et petits-enfants. Or en réfléchissant mûrement, je remarque qu’il n’ ya pas amour mais détestation et rancune. Je vais m’expliquer : depuis toujours lorsque le père entre dans une religion les enfants l’épousent. Quand à celui qui a le rôle de père, il faut qu’il pense à ce qui attendra ses enfants et petits-enfants. Les gens vont-ils pouvoir les réduire en esclavage ? Ce n’est qu’après mûre réflexion que l’on s’engage. Or depuis l’antiquité jusqu’à présent, personne n’y pense ; si le père a le désir d’y rentrer, il rentre immédiatement. Si je pratique l e bouddhisme, je livre mes enfants aux bonzes. Si je pratique le protestantisme, je livre les enfants aux pasteurs. Quant à la religion des lettrés, c’est les livrer aux  bonzes, et aux personnes malhonnêtes et fourbes.

Fin de la traduction en français de la page huit

Thứ Năm, 1 tháng 9, 2011

ÔNG LÝ CHÁNH ĐỨC VÀ TỔ CHỨC SEAMEO

Vừa qua,tổ chức SEAMEO RETRAC đã long trọng làm lể kỷ niệm 15 năm ngày thành lập,một bộ phận khác của tổ chức SEAMEO có tên là SEAMEO INNOTECH với vị Giám Đốc đầu tiên là Ông Lý Chánh Đức.
Chị Lý Lan Phương là con gái Ông Lý Chánh Đức được mời đến dự với tư cách khách mời danh dự.
               Tổ chức SEAMEO INNOTECH ( ảnh chụp năm 1972 )
Ông Lý Chánh Đức ( veston trắng,đứng giữa )



                                                              Chị Lý Lan Phương



Buổi lễ kỷ niệm có sự hiện diện của Ông Bộ Trưởng Bộ Giáo Dục và Đào Tạo nước Việt Nam,các cựu Bộ Trưởng Bộ Giáo Dục và Lãnh Sự Quán các nước Lào , Campuchia đến dự.
*Quan hệ huyết thống
Ông Lý Chánh Đức là con trưỡng nam Bà Mười TẠ BẠCH LANG.
*Xem thêm về Tổ Chức SEAMEO tại ĐÂY