Chủ Nhật, 31 tháng 7, 2011

TẠ THỊ KIM VÂN

Ngày 26 tháng 7 năm 2011,Chị TẠ THỊ KIM VÂN và chồng có ghé về thăm GIA ĐÌNH LƯƠNG HỮU tại Vũng Tàu
          LƯƠNG HỮU THIỆN-NGUYỄN THỊ KIM HÀ-LƯƠNG HỮU PHƯỚC-TẠ THỊ KIM VÂN-LƯƠNG HOÀNG NGA
                                                      TẠ THỊ KIM VÂN - NGUYỄN THỊ KIM HÀ
          VỢ CHỒNG CHỊ VÂN GHÉ THĂM HÀI CỐT ÔNG MƯỜI HAI-TRƯƠNG BỬU TẤN
                  CHỊ TẠ THỊ KIM VÂN BÊN HÀI CỐT ÔNG MƯỜI HAI-TRƯƠNG BỬU TẤN
     Trước đó gia đình chị Kim Vân cũng có ghé về Trà Vinh thăm mộ phần Ông Bà,Cha Mẹ

Quan hệ huyết thống:  Chị Tạ Thị Kim Vân là con gái Ông Bảy TẠ TRUNG ÁI và là Cháu Nội ÔNG NĂM-TẠ TRUNG LƯƠNG
- Hài cốt Ông Mười Hai ( TRƯƠNG BỬU TẤN )hiện đang được lưu giữ tại Nhà Thờ Chánh Xứ Vũng Tàu

THIEN DAO THANH KINH , PAGE 6

1) Tu n’adoreras pas les statues de génies, de bouddhas, de mauvais esprits et de démons
2) Tu ne seras pas orgueilleux, ni jaloux
3) Tu n’invoqueras pas le nom de Dieu à la légère
4) Tu ne travailleras pas le jour du Seigneur, le dimanche
5) Tu ne te rebelleras pas contre tes parents
6) Tu ne tueras pas
7) Tu ne commettras pas le péché de luxure
8) Tu ne commettras pas de vol, ni de pillage
9) Te ne seras pas faux ni hypocrite
10) Tu ne convoiteras pas les biens d’autrui
Quiconque observe rigoureusement ces dix commandements aura, à coup sûr, l’assurance du paradis.
La religion du Ciel que « tía » » pratique est la vraie religion du Ciel, mais aussi la vraie religion des lettrés, car il n’y a ni église ni temple, ni prêtre ni pasteur, pas de prières psalmodiées, pas de jeûne ou abstinence. Rien de tout cela. Seuls sont adorés et honorés Dieu le père, Jésus et l’Esprit Saint, et nos ancêtres et parents. Et ils le sont uniquement dans l’intimité de nos cœurs. Nous devons être reconnaissants à Dieu de nous avoir créés. Quant à Jésus, il nous guide, et nous montre le droit chemin et la voie de la raison, il nous livre les secrets de la question du salut de nos âmes. C’est donc une immense faveur. Pour sa part, l’Esprit Saint nous éclaire et nous inspire ; il nous réconforte. Grande aussi est notre dette envers lui. Nos ancêtres, grand - parents et parents sont tous pour nous de grands bienfaiteurs. En tant que petits - enfants et enfants, nous avons le devoir de les vénérer et de garder vivace leur image dans notre imagination. Prions pour que nos grands- parents et parents, comme nous-mêmes, soyons délivrés de cette mer de souffrance et que nous parvenions au pays des Immortels. Prions Dieu et supplions-le d’avoir pitié de nous. Dorénavant - je m’y engage- je me repentirai, je réformerai mon cœur, et je ferai le bien. « Tía » s’aperçoit qu’il a 62 ans cette année. Alors qu’il pratiquait la religion des lettrés depuis 60 ans, il n’avait jamais pensé à prier pour ses parents. Il était convaincu que le culte qu’il leur rendait était suffisant pour acquitter sa dette et leur exprimer sa reconnaissance filiale. Or, à en juger sur la réalité des choses, l’adoration et le culte, tout cela n’était que pure hypocrisie et fausseté, et n’était d’une quelconque utilité pour personne. Depuis que « tía », ayant abandonné la religion des lettrés, pratique la religion du Ciel, 2 années se sont écoulées. Ayant, pendant ce temps, prié trois fois par jour pour ses parents, cela compte déjà pour beaucoup. De l’avis de « tía », c’est bien mieux de pratiquer la religion du Ciel que celle des lettrés. Que les prières que je récite sont exaucées ou pas, c’est le Seigneur qui en décide, comment pourrais-je savoir ? Mais, le fait est que désormais je me sens vraiment plus joyeux et plus heureux qu’autrefois. Si j’ai abandonné la religion des lettrés, c’est parce que j’avais constaté que tout le monde estimait que le culte rendu aux ancêtres suffisait pour payer une longue et lourde dette. En pratiquant la religion des lettrés je ne faisais donc que suivre les autres. En revanche, lorsque je décidai de suivre la religion du Ciel, je tenais à ce que tout se fît dans la vérité, sans la moindre hypocrisie ou fausseté. Parmi mes enfants et petits – enfants, celui qui suivrait mon exemple et adorerait Dieu obtiendrait sans aucun doute beaucoup de faveurs. Premièrement, il serait dispensé de toute adoration, culte ou sacrifice ; deuxièmement, il échapperait à la dette du karma ; troisièmement, on n’oserait plus le soumettre, comme autrefois, à des contraintes et obligations. « Tía » constatait que, depuis toujours, au sein de la famille Ta trung, d’une génération à l’autre, on s’était transmis la pratique de la religion des lettrés, qui était une religion importée dans notre pays par les « chệt » (note du traducteur : « chệt »- mot péjoratif utilisé couramment, du moins à l’époque, pour désigner les Chinois). Nous imitions ceux-ci en pratiquant cette religion entre nous depuis plusieurs milliers d’années déjà. Je me mis alors à la recherche de personnes pétries de la culture des lettrés, leur demandant de m’expliquer les origines et racines de la religion des lettrés, de me dire qui était le chef spirituel de la religion des lettrés. Aucune de ces personnes ne fut en mesure de me donner une réponse. Je me mis alors à la recherche de personnes âgées pour leur poser la même question. Elles me répondirent : « Nos grands- parents et parents adoraient et rendaient ainsi le culte. Nous faisons simplement comme eux. Et nous ne savons pas quelles en sont les origines et les racines pour pouvoir vous éclairer à ce sujet ». Qu’en pensez-vous, mes enfants ? Réfléchissez pour savoir si une telle religion ne mérite pas d’être abandonnée.
Pendant les 60 années que « tía » a passées à pratiquer la religion des lettrés, hélas ! mes enfants, que d’argent, que de naïveté et de crédulité, que de souffrances ! Votre mère et moi, mari et femme, nous travaillions pour gagner notre vie en économisant piastre par piastre. Or , tous les quatre matins, on nous mettait à contribution . Un jour, pour construire une pagode ; un autre jour, pour bâtir un « đình » ; une autre fois encore, pour une cérémonie pour le repos des âmes (làm chay). C’est ainsi, bon an mal an - que d’argent !
Tantôt je raisonnais ainsi : il ne me reste que quelques années avant que je ne doive mourir. Dans ces conditions, je devrais faire un effort pour supporter tout cela afin de remplir jusqu’au bout mon devoir d’homme. Tantôt, je raisonnais autrement : je pensais à mes enfants et à mes petits - enfants qui deviendraient de plus en plus nombreux. Si je pratiquais cette religion, sans doute suivraient-ils mon exemple, et se la transmettraient-ils de génération en génération, si bien que notre famille, les Ta, serait à perpétuité réduite à l’esclavage. Plus « tía » y pensait, plus son cœur se serrait. Et vous, mes enfants, ne vous trouvez pas cela douloureux ? Dorénavant, il faudra, à tout prix, que je trouve le moyen de trancher tout lien avec cette dette du karma. Une dette démesurément lourde ; on a beau rembourser millions après millions, elle ne diminue en aucune manière. C’est pourquoi, mes enfants, d’un même cœur avec « tía », et en unissant nos forces, liquidons cette dette ! Ne la gardons pas car elle causerait trop de tort à nos enfants et petits enfants. « Oan trái », c’est l’obole versée pour construire une pagode ou un « đình », pour la cérémonie célébrée pour le repos des âmes, ou pour la réception des bonzes (truong huong). Tout ce qui est offrande ou sacrifice, c’est encore la dette.
En revanche, l’argent qui va à la construction d’hôpitaux, de maternités, de maisons de retraite, d’orphelinats, c’est de l’argent donné pour aider les malheureux. Il faut aider de grand cœur sans regretter, car c’est cela, aimer autrui.


Fin de la page 6

Chủ Nhật, 24 tháng 7, 2011

THIEN DAO THANH KINH, PAGE 5

THIEN DAO THANH KINH, extraits de la page 5


 En général, on pense au corps et à la chair. Qui donc penserait jamais à l’âme ? Et pourtant, le corps et la chair se décomposent et disparaissent, tandis que l’âme reste éternellement.
J’en viens maintenant à la question du mariage : point n’est besoin, en l’occurrence,  de prendre en considération la religion ; quelle que soit la religion de l’une ou de l’autre partie, pourvu que les parents des deux côtés donnent leur consentement et que les deux jeunes conviennent de s’aimer mutuellement, ainsi en a décidé le Ciel. On pourra alors célébrer le mariage, quelle que soit la religion.
Le jour où, selon le rite, l’on accueille la mariée dans la maison du marié, le père de celui-ci  se met à genoux entre les deux jeunes époux, également agenouillés, et prie Dieu de bénir le jeune couple, en récitant la prière suivante :
Province : Tràvinh, canton : Trà Nhiêu ; village : Long Duc. votre disciple, Ta Trung….., prie au nom de Jésus. Puisse ma prière parvenir jusqu’aux neuf étages du Ciel ! Mon Dieu, aujourd’hui c’est le huitième jour du neuvième mois de l’année mâu thinh, mon fils, Ta Trung….épouse la fille de Duong tân Tài, nommée Duong thi Liêu ; les deux familles scellent leur alliance sur un pied d’égalité. Que Dieu bénisse le jeune couple, que l’époux sache chérir son épouse, l’épouse respecter son époux, qu’ils vivent ensemble dans la bonne entente et la joie jusqu’à l’âge de cent ans 
                                                 AMEN
La prière dite, la cérémonie du mariage est terminée. Une personne est ensuite désignée pour accompagner la mariée dans la salle et la présenter à ses beaux parents, devant lesquels elle s’inclinera pour exprimer sa reconnaissance, ensuite aux autres membres de la famille, devant chacun desquels les jeunes mariés s’inclineront aussi, pour les remercier de leur contribution, puis le repas de noce est servi, et tout est accompli
Quant aux rapports père-enfants, mari et femme, amis et connaissances, la concorde, la joie de vivre ensemble suffisent ; le père ne devrait pas abuser de son autorité pour opprimer ses enfants ; les enfants de leurs droits d’enfants pour opprimer leur père ; le mari de son autorité d’époux pour tyranniser son épouse, et l’épouse de sa condition d’épouse pour brimer son mari. Il faut qu’ils vivent dans la bonne entente et la paix, la joie et l’amour mutuel. Il faut que l’un fasse plaisir à l’autre, qu’ils se respectent l’un et l’autre et s’entraident, au lieu de se comporter comme le voulait  notre religion des lettrés d’autrefois : le fils à qui le père décrétait la mort devait mourir ; le mari était le roi, l’épouse le sujet ; l’homme avait droit à cinq épouses et à sept concubines, la femme devait être chaste et fidèle à un seul et unique mari : tel fut le dictat de la religion des lettrés. Est-ce juste ? Abandonnez- celle-ci sans regret. Dans la religion du ciel, tenez-vous en toujours au précepte : un seul mari, une seule femme. La  polygamie est interdite.
Quant à notre fête du Têt, il fau, bien sûr, acheter des choses pour célébrer pendant trois jours, mais aucun culte n’est nécessaire. Le jour du Nouvel An, on se rend sur la tombe de ses parents et en faire la toilette. Chaque année, il faut trois visites au moins. Tant mieux si on peut le faire plus souvent.
La religion du Ciel conçoit  Dieu réparti en trois personnes : Dieu le père, Jésus et l’Esprit-saint, alors que la religion protestante, comme la religion catholique,  affirme que les trois personnes réunies constituent un seul Dieu. « Tia » ne pense pas ainsi. A mon avis, les trois personnes représentent trois personnes distinctes, car Jésus a dit de  lui-même qu’il était le fils. Il a enseigné aux disciples  que Dieu le père était au ciel et qu’il allait souvent sur la montagne prier Dieu le père ; il s’agissait donc du fils et du père, c'est-à-dire de deux personnes distinctes. Jésus a ajouté : lorsque je regagnerai le Ciel, j’enverrai l’Esprit-saint vous réconforter. Ne s’agit-il pas là clairement de trois personnes distinctement ? Mes amis, si notre religion est celle de Jésus, croyons en sa parole. Les autres sont libres de croire qui ils veulent. De l’avis de Tia, Jésus est aussi un Dieu, mais Dieu le fils. Dieu aime le monde ; c’est pourquoi il envoie Jésus sur la terre pour nous montrer le droit chemin et la juste raison, et pour nous montrer comment sauver nos âmes.
…..Quiconque adhère à sa religion, n’a aucune somme d’argent à débourser, ni aucun culte à rendre comme dans le cas des autres religions. Lorsqu’on a quelque chose à demander, il suffit de prier avec sincérité, et il vous l’accordera. Mais il faut prier Dieu. La religion du ciel exige de ses adhérents qu’ils prient trois fois par jour, une fois le matin, une fois au milieu de la journée et une fois le soir. Lorsqu’on a quelque chose à demander, il suffit d’expliquer ce que l’on demande sans avoir besoin d’ajouter une quelconque fioriture.
……La religion du ciel a dix commandements.

Thứ Hai, 11 tháng 7, 2011

TIN BUỒN

* BẢN CÁO PHÓ NÀY VỪA NHẬN ĐƯỢC TỪ ÔNG TẠ TRUNG DÕNG

* Quan hệ huyết thống:- Ông Phao Lô Lý Văn Ngô là con rể Ông Trần Văn Cường,cháu rể Bà Ba TẠ KIM LANG

Thứ Sáu, 1 tháng 7, 2011

KỶ NIỆM 19 NĂM NGÀY TẠ THẾ BÀ 13 TẠ THIẾU LANG

 Hôm nay ngày 01 tháng 7 năm 2011,gia đình LƯƠNG HỮU VŨNG TÀU kỷ niệm 19 năm ngày tạ thế cũa Bà Nội TẠ THIẾU LANG ( TẠ THỊ THIẾU ).
Bà là con út trong dòng họ TẠ TRUNG TRÀ VINH,đứng thứ 13 trong gia đình và còn mang chử THIẾU trong tên họ,hai điều đó như là một điềm báo gở cho cuộc đời bà sau này...
Bà đã THIẾU : thiếu hạnh phúc lúc thanh xuân,thiếu an nhàn khi luống tuổi , mọi bất hạnh đều tìm đến , ngự trị trên đôi vai bé nhỏ của bà,với anh em chúng con,bà vừa là bà nội vừa là người mẹ hiền,bà giang rộng đôi cánh tay ôm hết vào lòng cho đến khi sức tàn lực kiệt....
Bà đã DƯ : dư lòng can trường,dư ý chí sắt thép,dư lòng quả cảm đương đầu với sóng gió trong cuộc đời,dư tình thương đối với tha nhân và con cháu sống chung quanh bà.
Với những gì bà đã đạt được,chử THIẾU không còn mang ý nghĩa gì nữa cả !
Cháu nội đích tôn của bà : Lương Hữu Phước cảm tác
MỘT VÀI HÌNH ẢNH TANG LỂ KHI XƯA:



                               " Ngươi là bụi đất,sẽ trở về với bụi đất. St 3,19 "
                                                                                 QUY CỐ HƯƠNG